Les Google Glass vont envahir le marché en 2014, pour notre plus grand plaisir et surtout pour profiter un maximum de la réalité augmentée dans le monde du vin. Regardez ce petit clip pour vous faire une idée. En attendant peut-être une surprise sous le sapin de noël de l’Agence Avina
Avec presque 50 000 visiteurs et plus de 1000 fournisseurs, la 26 éme édition du Salon SITEVI de Montpellier est un vrai succès.
Avina en a profité pour rencontrer les fournisseurs de la viticulture française à la recherche de nouvelles tendances, de matières sèches, de nouveaux packagings, d’innovation en matières de bouchage, mais aussi d’accessoires, l’Agence n’a cessé pendant la durée du salon de chiner, découvrir, parler, échanger, discuter, apprendre…
« Etre expert en marketing du vin c’est aussi et avant tout toujours être capable de pouvoir conseiller de la vigne au verre. De l’utilisation de cépages résistants, jusqu’à l’adoption du bouchon de champagne à vis, c’est ça notre métier, pouvoir apporter une réponse et un point de vue qui peuvent être un premier élément de différenciation » précise Mathilde Boulachin, directrice de l’agence de Béziers.
Les experts d’Avina, tous dans des domaines de compétences distincts, ont été puisés l’essentiel pour pouvoir transmettre aux clients et futurs clients. Professionnels de la conception produit, du graphisme, de la photo, du web, œnologue, rédacteur, tous y ont trouvé des épices pour pouvoir livrer ensuite le meilleur du conseil en marketing et en communication demandé à une agence spécialisée.
À peine les portes du salon fermées, déjà le téléphone sonne pour réaliser des créations ou pour se renseigner sur la réalité augmentée…
Retrouvez nous sur votre stand ou dans les allées pour découvrir en quelques minutes les innovations dans la communication du vin à commencer par la Réalité Augmentée.
Contactez-nous au 04 99 41 06 65 pour organiser cette rencontre.
Parce qu’un instant de curiosité peut changer votre manière de communiquer, et in-fine de vendre, n’hésitez pas à prendre ce temps.
A très bientôt.
Le nombre de sites internet s’est démultiplié dans l’univers du vin depuis le début du nouveau millénaire. Grandes, moyennes, petites structures ont bien saisi l’intérêt de communiquer sur son domaine, son histoire, ses hommes, ses cuvées, ses évènements, ses nouveautés. Grâce à des mots, mais surtout à des images, ce sont des valeurs, des points de différenciation, et tout un package identitaire qui ressortent.
Carte d’identité détaillée présente sur le web, le site internet vitrine est le premier portail d’entrée pour renseigner le consommateur d’ici et d’ailleurs. Cet outil de communication, visible sur le territoire français et au-delà des frontières, la quintessence se doit de transpirer simplement, en quelques rubriques. « Comme dans un voyage de quelques secondes dans un ascenseur avec un passager à qui l’essentiel est raconté, les clients ont quelques pages pour y exprimer le travail d’une vie » explique Mathilde Boulachin, la Directrice d’Avina.
Les objectifs à atteindre grâce à ce puissant véhicule marketing peuvent être divers : vendre, augmenter sa notoriété et son image, fidéliser, développer un nouveau circuit de distribution si il s’agit d’un ecommerce… La cible peut être B to B, B to C ou mixte. Le site peut être statique ou comporter une partie administrable pour renseigner l’internaute sur la vie du domaine et son actualité. La vitrine en ligne se veut d’être responsive pour s’adapter aux tablettes et smartphones en plus d’offrir un simple affichage sur l’écran de l’ordinateur. Le site doit répondre aux dernières stratégies en termes d’optimisation de référencement naturel (SEO). Avoir un site c’est bien, le trouver sur la toile, c’est mieux…
« Le site internet vitrine est aujourd’hui un incontournable dans la boîte à outils de communication des vignerons, que la vente soit dédiée aux particuliers, ou à la distribution Internationale. Si le retour sur investissement est plus facilement mesurable si le site est marchand, il n’en demeure pas moins que les atouts du site vitrine ne sont plus à prouver. Les statistiques poussées nous aident à monitorer l’activité d’un site et d’en comprendre son extrême importance » explique Sébastien Mas, Directeur des Nouvelles Technologies de l’Information de l’Agence.
Une fois créé, le site doit suivre l’air du temps. Des petits ajustements ici et là sont nécessaires. Comme du merchandising mais avec une fréquence de changements de vitrine moindre, le site se doit de vivre et d’évoluer à la cadence d’évolution de la société.
De plus en plus de domaines viticoles en France étendent leur activité de vente directe en développant des projets oenotouristiques complets. Les professionnels du vin souhaitent maximiser la valeur en touchant directement le consommateur final et en écartant parfois quelques intermédiaires dans la complexe chaîne de distribution. Pourquoi ne pas faire une vidéo ?
Une des clefs pour séduire le client est de lui proposer, en plus de la vente de vins, des produits complémentaires, des accessoires, une activité de dégustation ludique et enrichissante.
Certains vont plus loin encore et proposent aux consommateurs de séjourner à la propriété.
La dernière réalisation vidéo d’Avina, filmée grâce à un drone pour les plans aériens, montre ce que le vigneron, sa famille, son gîte, son vignoble, ses chais et ses vins peuvent offrir de meilleur.
Deux minutes de film pour sublimer en images ce qu’une activité oenotouristique représente. « la restauration et l’hôtellerie misent en place au domaine, si bien exécutées, représentent une clef de différenciation et de fidélisation très importante. C’est une riche idée à exploiter dans le cadre d’un marketing identitaire poussé » précise Mathilde Boulachin, la responsable de l’agence.
Il existe en France quelques annonceurs utilisant la réalité augmentée comme support de communication. Le buzz et le ROI sont dès lors mesurés et reconnus. L’intérêt de la « RA », comme la nomment les connaisseurs, n’est plus à démontrer.
Dans le monde du vin, si l’Italie, l’Espagne, les Etats-Unis et la Nouvelle Zélande montrent quelques projets, en France, le pionnier est sur le point d’attirer une attention bien particulière. À suivre sur les pages d’Avina…
Dans le développement de la réalité augmentée, il s’agit de prendre certaines mesures de vigilance. Si certains s’improvisent faiseurs de réalité augmentée, il est important de distinguer la vraie RA de la fausse. Pour que réalité augmentée il y ait, il faut une combinaison entre un environnement réel et un environnement virtuel. L’interaction entre ce réel et ce virtuel doit être instantanée, la dimension 3D doit être respectée.
Certaines applications se disent créatrices de réalité augmentée sans réellement pouvoir prétendre à cette dénomination. Tout comme dans le monde du vin où un cru est un cru, un vin de pays est un vin de pays… dans le monde de la réalité augmentée la classification est également établie par la communauté d’experts. La prise d’une photo de son device et l’ajout d’une image, même si l’image est modifiable, n’est pas de la réalité augmentée. Un fond filmé grâce à la webcam de son smart phone, tablette, ou ordinateur sans interaction virtuelle, ne rentre pas dans l’aire d’appellation protégée réalité augmentée.
« La réalité augmentée a été chez Avina un investissement en recherche et développement important. Une chose est certaine : on ne peut s’improviser metteur en marché de Réalité Augmentée en un seul clic » précise Sébastien, Directeur NTIC de l’Agence.
La réalité augmentée n’a pas fini de faire couler de l’encre…
Les Cyberacheteurs de vin : ils ressemblent à quoi ?
– Dépensiers : ils dépensent 14€ de plus en moyenne pour une bouteille de vin de qualité, ce qui offre aux domaines privés, au positionnement plus haut de gamme, de nouvelles perspectives.
– Amateurs : ils aiment consommer du vin plusieurs fois par semaine.
– Rouge : ils apprécient plus particulièrement le vin rouge.
– Fourmis : ils n’achètent pas seulement mais en partie pour faire des réserves.
– Généreux : ils achètent pour offrir surtout lors de la période des fêtes.
– Curieux : ils n’hésitent pas à tenter de nouveaux vins même en provenance d’ailleurs.
Le profil des cyberacheteurs est intéressant pour les domaines, caves coopératives, négoces et commerçants souhaitant faire des affaires sur le web et profiter de l’un des rares segments de distribution en France offrant encore des potentialités de croissance.
« Nous aimons travailler sur des mises en place de ecommerce et voir peu à peu le site marchand du vigneron généré 1% du chiffre d’affaire total, puis 5 puis 10… Chez certains clients, le site est un véritable commercial supplémentaire, mais sans ses coûts de fonctionnement » explique Sébastien, le Directeur des Nouvelles Technologie de l’Information d’Avina.
Le eCommerce dans le monde du vin risque de faire encore et encore parler de lui…
N’avez-vous jamais rêvé d’une mise en bouteille « outsourcée » de A à Z, n’avez-vous jamais pensé à créer un nouveau produit, à étendre votre gamme, mais sans réellement savoir comment s’y prendre ?
Avina l’a fait ! Et continue de le faire pour les créateurs de marques soucieux de se concentrer sur la commercialisation plutôt que sur la partie conception produit.
Avina a la rare expertise de pouvoir à la fois choisir les différentes matières sèches, les créer, les rédiger, tout en partant d’un liquide vin à l’intérieur, d’un style adapté à un marché cible en respect d’un mix marketing cohérent. Design, mais aussi contrôle de l’impression jusqu’à l’embouteillage, l’agence ne s’arrête pas qu’à une partie du produit. Elle le crée dans sa totalité ! Et maîtrise in-fine toutes les étapes clefs de la conception du produit.
« C’est la gestion de tous ces petits détails qui crée une différence tant sur le plan de la réduction des coûts de production que sur l’augmentation de la perception de valeur du produit » précise un client d’Avina, concepteur d’une marque à forte valeur ajoutée à l’export. « J’ai cherché en mettant ma marque en marché à développer rapidement mon produit, Avina a géré la totalité de la conception produit, ce qui m’a permis de me focaliser uniquement sur la commercialisation. Chacun son métier, à vouloir tout gérer soi-même, on prend de trop grands risques et on perd un temps précieux » conclut ce dernier.
Être vigneron, marketeur, négociant, commercial export, ne signifie pas devoir tout maîtriser. Les contraintes productives, les exigences réglementaires, les subtilités créatives, les nouvelles techniques d’impression, le contrôle des coûts constituant le prix de revient, la réduction de la facture des matières sèches, la valorisation de la marque, l’augmentation de la perception de valeur, tout cela mis bout à bout en a déjà étourdi plus d’un.
La conception produit est un volet très important à prendre avec beaucoup de considérations, au même titre qu’un développement de gamme. À méditer…
Notre agence souhaite s’allier à la consommation responsable du vin en France, et lutter contre les mesures envisagées quant à la communication du vin sur internet et dans les médias, le durcissement des messages, et la taxation prohibitive.
« Les actions menées peuvent certes nuire à l’existence même de notre agence et les activités de mes pairs mais nos convictions vont bien au-delà ! Nous créons, dessinons, écrivons, codons, développons, photographions, filmons, pensons, vivons pour l’univers du vin ! Ce monde est prenant, exceptionnel, magnifique, riche et inépuisable. C’est une chance que nous avons en France d’avoir la viticulture. Héritage d’un passé millénaire, c’est notre devoir de le transmettre aux générations futures ! » explique Mathilde Boulachin, créatrice passionnée et Directrice de l’Agence.
« Toutes ces années à créer des étiquettes de vins pour faire le constat suivant : ma tâche est de plus en plus ardue à tenter de tout faire tenir sur ce bien maigre espace que représente l’étiquette ou la contre-étiquette. Magicienne : je dois être. Petit coup de baguette magique sur mon écran pour que les polices, les informations légales, les textes se positionnent… et on en veut encore plus ? » ironise Alice, Directrice Artistique d’Avina.
« Interdiction de parler du vin sur Internet… faire également abstraction des origines, de l’histoire, de la géographie, du terroir et de tout le patrimoine culturel dans lequel s’inscrit ce même vin ? La toile serait bien triste sans ces jolis sites dédiés au Monde du Vin, sans boutiques virtuelles qui permettent aux internautes de découvrir, sans ces commentaires renseignant les consommateurs sur les réseaux sociaux, sans ces nombreux blogs faisant voyager dans les paysages viticoles » raconte Sébastien, Directeur des Nouvelles Technologies de l’Information.
« Ne plus communiquer : c’est ne plus pouvoir emmener les citoyens du Monde dans les domaines Français à distance grâce à la force de l’image » conclu Nicolas, spécialiste de la Photographie à l’Agence.
Le vin n’est pas une drogue. La filière viti-vinicole peut continuer d’avancer la tête haute.
Que faire lorsque l’on reçoit un coup de cœur au Guide Hachette ? Que faire lorsque l’on obtient une distinction, une médaille en France ou ailleurs ?
Si certains concours sont gratuits, d’autres le sont beaucoup moins. L’intérêt de concourir et d’obtenir une reconnaissance est de pouvoir ensuite en parler et d’au moins rentabiliser son investissement.
Pour rebondir suite à l’obtention d’une distinction, plusieurs cordes peuvent être actionnées dans le temps. En voici un petit extrait :
Il convient de communiquer sur l’obtention de la distinction, de le faire savoir à son fichier client : soit par mailing, soit par une action de publipostage.
Il est pertinent de profiter de cette reconnaissance pour lancer un emailing de prospection en France sur les réseaux cavistes, CHR ou à l’International chez les importateurs.
Il est intéressant de profiter de cette émulation pour relancer un réseau ciblé en prospection directe ou par phoning.
Il est indispensable de le communiquer sur son site internet, dans la rubrique actualités ou distinctions, ou sur la page d’accueil, et sur ses supports de communication tels que la fiche cuvée, la présentation du domaine, la revue de presse, le book des distinctions. Une belle photo de la bouteille avec le Guide Hachette en toile de fond, ou une infographie bien faite peuvent vanter les mérites de la cuvée en un simple coup d’œil.
Le blog de la propriété et les réseaux sociaux ont aussi le droit d’être avertis.
La page QR de la cuvée doit être alimentée avec ce détail qui n’en est pas un.
Il est possible de parer la bouteille de médailles, cravates, et autres décorations – gage de qualité pour un grand nombre de consommateurs finaux et véritable critère de sélection entrant à part entière dans le processus d’achat.
Le caveau de vente doit présenter les honneurs reçus. Un joli cadre, une belle mise en scène de ce coup de cœur servent à aider le consommateur dans sa prise de décision.
Selon la distinction reçue, et selon l’origine du vin, un petit communiqué de presse bien monté, finement rédigé, peut aider les médias locaux à écrire un article sur le sujet.
Les salons et les évènementiels doivent eux aussi être des supports de déploiement de ce type de sujet de communication.
Votre agence Avina, spécialiste du marketing et de la communication dans l’univers du vin, répond à toutes ces problématiques pour vous si le temps vient à manquer.
« Ne laissez pas un coup de cœur s’échouer sans résonnance. Chaque élément de différenciation de vos vins et de votre maison participe activement à la vente et à la fidélisation » ponctue Mathilde Boulachin, Directrice de l’Agence.
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