Les e-shoppers de vin

Les e-shoppers de vin
Les e-shoppers de vin

Les Cyberacheteurs de vin : ils ressemblent à quoi ?
Dépensiers : ils dépensent 14€ de plus en moyenne pour une bouteille de vin de qualité, ce qui offre aux domaines privés, au positionnement plus haut de gamme, de nouvelles perspectives.
Amateurs : ils aiment consommer du vin plusieurs fois par semaine.
Rouge : ils apprécient plus particulièrement le vin rouge.
Fourmis : ils n’achètent pas seulement mais en partie pour faire des réserves.
Généreux : ils achètent pour offrir surtout lors de la période des fêtes.
Curieux : ils n’hésitent pas à tenter de nouveaux vins même en provenance d’ailleurs.

Le profil des cyberacheteurs est intéressant pour les domaines, caves coopératives, négoces et commerçants souhaitant faire des affaires sur le web et profiter de l’un des rares segments de distribution en France offrant encore des potentialités de croissance.

« Nous aimons travailler sur des mises en place de ecommerce et voir peu à peu le site marchand du vigneron généré 1% du chiffre d’affaire total, puis 5 puis 10… Chez certains clients, le site est un véritable commercial supplémentaire, mais sans ses coûts de fonctionnement » explique Sébastien, le Directeur des Nouvelles Technologie de l’Information d’Avina.

Le eCommerce dans le monde du vin risque de faire encore et encore parler de lui…

Sources : LSA, Survey Lab, le laboratoire d’études et tendances de vente-privee.com, en partenariat avec l’institut d’études indépendant ExactEtudes.

Avina au Salon du eCommerce

E-commerce Paris 2013Pendant que les domaines vendangent, Avina se préoccupe de la commercialisation de la future récolte. Au salon du eCommerce de Paris, l’Agence continue d’exploiter ce vaste pan de distribution que représente le web.

« Le eCommerce est en perpétuelle mutation comme toutes nouvelles technologies. Les techniques d’aujourd’hui sont déjà désuètes. Celles de demain doivent être mises en place rapidement. Notre défi  est de toujours rester à la pointe du progrès pour que nos clients détiennent une avance en terme de distribution. » commente Sébastien, le Directeur des Nouvelles Technologies de l’Agence en direct du grand salon Parisien.

« L’industrie du vin en France et ailleurs a bien saisi que la diminution des références en GD au profit des MDD, et la baisse des opportunités dans ce circuit représentant près de 80% du commerce amenuisent les potentiels débouchés. Le web reste l’une des seules sphères en pleine croissance ! Cet axe doit dès lors faire pleinement parti des plans d’actions commerciales et du marketing mix. » souligne Mathilde, la directrice de l’Agence.

L’objectif d’Avina est de continuer de développer pour ses clients dans l’univers du vin, des eboutiques performantes. Ces caveaux virtuels trouvent non seulement un retour sur investissement rapide, mais ils permettent véritablement de créer un business presque automatisé.

La satisfaction personnelle de l’agence est de voir l’envolée des statistiques : commencer avec un pourcentage de ventes directes en ligne presque insignifiant et voir peu à peu celui-ci atteindre 10%, 20% (et au-delà…) du CA total généré sur la toile.